In the Right Place at the Right Time: Rules of Control and Woman’s Place in Ontario Schools, 1940–1980

Abstract

In a recent life-history interview study of two generations of male and female principals in Toronto elementary and secondary schools from 1940–1980, respondents repeatedly said that they had moved into their administrative role because they were in the right place at the right time. I use Clegg’s (1981) configuration of organizational rules of control to question why so few women became principals in the Toronto Board during that period. The analysis illustrates how, despite pressures for change, the overall “place” afforded to most men and women in this educational organization remained unchanged. I consider how we might work within present-day organizations to alter systemic forms of control and to interrupt such persistent hegemonic patterns — which limit both men and women — in school culture.

Dans l’étude récente menée à l’aide d’entrevues sur les récits de vie de deux générations de directeurs et de directrices d’école au primaire et au secondaire à Toronto de 1940 à 1980, les répondants ont affirmé à maintes reprises qu’ils se sont vu confier leur rôle administratif parce qu’ils avaient été au bon moment au bon endroit. L’auteure utilise la configuration qu’a donnée Clegg (1981) des règles de contrôle organisationnelles pour analyser pourquoi un nombre aussi restreint de femmes sont devenues directrices d’école à la Commission scolaire de Toronto au cours de cette période. L’étude illustre comment, en dépit des pressions en faveur d’un changement, la “place” globale accordée à la plupart des hommes et des femmes dans cette structure organisationnelle est demeurée la même. L’auteure suggère des moyens à mettre en oeuvre au sein des structures actuelles pour modifier des formes systémiques de contrôle et mettre fin à des modèles d’hégémonie aussi persistants — qui limitent autant les hommes que les femmes — dans la culture de l’école.